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Vœux 2026 : Déclaration du Président de l'OMSAC à la communauté internationale

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    omsac actualités
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À l’aube de l’année 2026, dans un contexte international marqué par la persistance des conflits, l’extension de la criminalité organisée transnationale et la banalisation des atteintes aux libertés fondamentales, l’Organisation Mondiale de Sécurité Anti-Corruption et Criminalité (OMSAC) réaffirme son engagement inconditionnel en faveur des droits humains universels, de la dignité inhérente à toute personne humaine, de la justice, de la paix et de l’État de droit, tels que consacrés par la Déclaration universelle des droits de l’Homme.


Convaincue que la corruption, les flux financiers illicites et la criminalité économique constituent des violations indirectes mais graves des droits humains — en privant les peuples de l’égalité, de la sécurité, de la justice et du développement — l’OMSAC inscrit son action dans une approche globale visant à protéger les libertés fondamentales, l’égalité devant la loi et le droit des peuples à vivre dans des sociétés justes et transparentes.


Dans cet esprit, le Président de l’OMSAC s’adresse à la communauté internationale avec un message clair : le temps des déclarations de principe et des engagements formels est révolu. Les défis contemporains exigent désormais des actions concrètes, mesurables et coordonnées. L’OMSAC appelle à l’instauration d’une coopération internationale appliquée, fondée sur le respect mutuel, la considération institutionnelle et la reconnaissance du rôle stratégique des organisations non gouvernementales indépendantes, crédibles et professionnelles, composées de cadres et d’experts représentant authentiquement la société civile mondiale.


Cette collaboration ne saurait être effective sans une distinction claire entre les acteurs engagés au service de l’intérêt général et les structures de façade instrumentalisées à des fins politiques, qui affaiblissent la confiance, détournent les mécanismes de coopération et portent atteinte aux principes universels de dignité humaine, de justice et de paix durable.


Message de vœux du Président de l'OMSAC


Citoyennes et citoyens du monde,

Excellences, Chefs d’État et de gouvernement,

Responsables d’organisations internationales

Représentants des institutions publiques,

Acteurs de la société civile et des organisations non gouvernementales,


En ce début de cette nouvelle année 2026, je vous adresse, au nom de l’Organisation Mondiale de Sécurité Anti-Corruption & Criminalité (OMSAC), mes vœux les plus sincères de paix, de stabilité et de prospérité partagée.


L’année 2025 s’est achevée dans un contexte international marqué par une convergence inédite des menaces : corruption systémique, criminalité organisée transnationale, blanchiment d’argent, traite des êtres humains, atteintes aux droits fondamentaux et fragilisation des institutions étatiques. Ces défis ne connaissent ni frontières ni continents. Ils appellent des réponses collectives, lucides et responsables.


L’OMSAC : une trajectoire fondée sur l’expertise et la responsabilité

Fondée le 9 février 2010 par un collectif d’experts internationaux issus de plusieurs pays européens, l’OMSAC est née d’une conviction forte : la lutte contre la corruption et la criminalité ne peut être efficace que si elle repose sur l’expertise, l’indépendance, la confidentialité et la coopération internationale.


Durant sa première décennie, l’Organisation a œuvré avec discrétion, privilégiant l’analyse approfondie, la construction de relations de confiance et la transmission responsable d’informations aux autorités compétentes. Cette approche, parfois méconnue, a constitué le socle de sa crédibilité.


Le tournant stratégique de 2020, marqué par mon élection à la présidence à Genève, a ouvert une nouvelle phase : celle d’une OMSAC plus structurée, plus visible institutionnellement, mais demeurant fidèle à une exigence absolue de professionnalisme et de prudence.


2020–2025 : consolidation et reconnaissance internationale

Entre 2020 et 2025, l’OMSAC a connu une montée en puissance significative.

  • Plus de 2 300 dossiers complexes ont été traités, couvrant des affaires de corruption, de criminalité organisée, de trafics transnationaux et de violations graves des droits humains.

  • L’Organisation s’est dotée d’une structure opérationnelle renforcée, avec un siège stratégique à Lyon, à proximité des grandes institutions de coopération sécuritaire internationale.

  • Sa présence en Suisse, dédiée aux relations diplomatiques et multilatérales, a consolidé son rôle d’interface crédible entre États, institutions internationales et acteurs spécialisés.

  • L’acceptation de l’OMSAC au sein des mécanismes des Nations Unies, notamment dans la perspective d’une participation aux travaux de l’ECOSOC, a marqué une reconnaissance majeure de sa légitimité et de son utilité internationale.


Ces avancées n’auraient pas été possibles sans l’engagement bénévole de centaines d’experts internationaux de très haut niveau, issus des domaines juridique, financier, sécuritaire, académique et diplomatique.


Une doctrine claire : efficacité, discrétion et respect des États

L’OMSAC tient à rappeler avec clarté sa doctrine d’action.

Nous ne sommes ni un organe médiatique, ni une structure d’opinion.Notre mission repose sur :

  • l’investigation rigoureuse,

  • l’expertise indépendante,

  • l’analyse stratégique,

  • et l’orientation responsable des dossiers.


Chaque situation est évaluée à l’aune de son impact humain, institutionnel et géopolitique. Lorsque cela est nécessaire, l’OMSAC agit en lien direct avec les autorités souveraines concernées, dans le strict respect du droit international et de la stabilité des États.


Cette approche impose une règle intangible : la confidentialité absolue, condition essentielle de la paix, de la crédibilité et de l’efficacité.


Perspectives 2026–2030 : une coopération mondiale renouvelée

Les années 2026 à 2030 doivent marquer une nouvelle étape.

L’OMSAC entend :

  • renforcer la lutte contre les flux financiers illicites et les réseaux criminels transnationaux,

  • intensifier la protection des victimes et des lanceurs d’alerte,

  • développer des mécanismes innovants de prévention et d’alerte stratégique,

  • approfondir la coopération avec les institutions gouvernementales, régionales et internationales.

Surtout, nous appelons à une nouvelle alliance mondiale entre :

  • les États souverains,

  • les organisations internationales,

  • les ONG crédibles et professionnelles,

  • et une société civile engagée, responsable et formée.


La lutte contre la corruption et la criminalité organisée ne peut être gagnée ni par un État seul, ni par une institution isolée. Elle exige une solidarité mondiale fondée sur la confiance, la transparence et le respect mutuel.


Conclusion : un engagement pour la dignité humaine et la paix

Reconnaître les vérités du passé, affronter les menaces du présent et construire des stratégies communes pour l’avenir relèvent d’un même engagement : la défense de la dignité humaine, de la souveraineté des peuples et de la paix durable.


En ce début d’année 2026, l’OMSAC réaffirme sa disponibilité totale à œuvrer aux côtés de tous les partenaires sincères, dans l’intérêt supérieur de l’humanité.


Je vous adresse, à toutes et à tous, mes vœux les plus respectueux et les plus déterminés pour une année placée sous le signe de la responsabilité, de la coopération et de la justice.


Enfin, l’OMSAC tient à rendre un hommage appuyé à l’ensemble des lanceurs d’alerte à travers le monde, femmes et hommes qui, souvent au péril de leur sécurité, de leur liberté et de leur avenir professionnel, choisissent de faire prévaloir la vérité, l’éthique et l’intérêt général. Leur courage constitue l’un des piliers les plus essentiels de la lutte contre la corruption, la criminalité organisée et les violations des droits humains.

L’OMSAC réaffirme son engagement à soutenir, protéger et valoriser ces voix responsables, conformément aux principes de la Déclaration universelle des droits de l’Homme et aux mécanismes internationaux de protection des défenseurs de l’intégrité.


Vive la solidarité internationale.

Vive l’intégrité au service de la paix.

Le Président de l’OMSAC : Mourad MAZAR

 
 
 

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