L'Organisation Mondiale de Sécurité Anti-Corruption & Criminalité (OMSAC) a toujours été un fervent défenseur de l'intégrité et de l'équité dans le monde du sport. Depuis ses débuts, elle n'a cessé de dénoncer et de mettre en garde contre les pratiques corrompues, les paris illégaux et les manipulations qui entachent la pureté de la compétition. Aujourd'hui, alors que l'affaire d'Aaron Curtis éclate au grand jour, l'OMSAC voit ses craintes confirmées. Cependant, il est important de souligner que cette affaire n'est que la pointe de l'iceberg, révélant l'étendue des défis auxquels le monde du sport est confronté en matière d'intégrité et de transparence.
L'Agence internationale de lutte contre la corruption dans le tennis a annoncé la suspension d'Aaron Curtis, joueur de tennis espagnol, pour une durée de 15 ans, après qu'il a reconnu avoir commis 35 violations du programme de lutte contre la corruption dans les matchs de tennis.
Selon l'agence, Curtis, classé 955e mondial et âgé de 29 ans, a commis ces infractions entre 2016 et 2018. Cela incluait la manipulation des résultats des matchs, l'acceptation d'argent en échange, le non-signalement aux autorités des tentatives de corruption et de paris sur les matchs, ainsi que le fait de donner de l'argent aux organisateurs de tournois pour obtenir des invitations.
En plus de la suspension imposée par l'Agence internationale de lutte contre la corruption dans le tennis, Curtis a été condamné à une amende de 75 000 dollars (69 000 euros).
Curtis a coopéré avec l'Agence internationale de lutte contre la corruption dans le tennis pendant l'enquête et a accepté la sanction qui lui a été infligée. Il a été suspendu à partir du 27 mars dernier jusqu'au 26 mars 2039, et pendant cette période, il ne pourra ni jouer ni s'entraîner ni assister à aucun tournoi de tennis officiel.
Département presse & médias de l'OMSAC