L'Union européenne "Le moment de vérité" Par le Département Intégrité & Investigations de l'OMSAC
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- il y a 23 heures
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Dans un monde bouleversé par les crises, les guerres, les inégalités et l’épuisement moral des peuples, il est devenu urgent de poser les bonnes questions. L’Union européenne, qui se présente depuis des décennies comme un modèle de démocratie, de droit, de paix et de solidarité, mérite aujourd’hui d’être examinée non pas selon ses discours, mais à la lumière de ses actes.
L'Organisation Mondiale de Sécurité Anti Corruption & Criminalité (OMSAC) lance une série exclusive d’enquêtes journalistiques pour révéler la face cachée d’une entité politique et économique qui, sous couvert de valeurs universelles, poursuit parfois des logiques d’influence, de domination et de déséquilibre à l’échelle mondiale.
Nous ne remettons pas en cause le principe même d’une coopération entre États européens. Ce que nous questionnons, c’est le système opaque, bureaucratique et technocratique d’une Union gouvernée non pas par les peuples, mais par des élites déconnectées, souvent compromises dans des affaires de lobbying, de favoritisme, voire de corruption à grande échelle.
L’Union européenne :
Fragilisée par ses propres divisions internes ;
Minée par des scandales de blanchiment et de détournement ;
Impitoyable lorsqu’il s’agit de sanctionner les États faibles ;
Silencieuse ou complice lorsqu’il s’agit de protéger ses multinationales ;
Arrogante dans ses relations avec les pays en développement, dont elle continue à exploiter les ressources humaines, économiques et diplomatiques.
Nous pensons qu’il est temps de dire : STOP. Stop à la manipulation, au néocolonialisme, aux doubles standards. Stop à la marginalisation des peuples du Sud, traités comme des sous-traitants ou des suspects.
Dans cette enquête, nous donnerons la parole aux oubliés, aux marginalisés, aux victimes des politiques européennes. Nous ouvrirons les dossiers enterrés, analyserons les textes, dévoilerons les mécanismes d’ingérence douce, de pression économique et de chantage juridique.
Car le monde a changé.Grâce aux technologies modernes, les peuples voient, entendent, comprennent et réagissent. Le mensonge n’a plus d’abri. L’arrogance n’a plus d’issue.
Les peuples veulent la justice, l’équité, la transparence.
L’Union européenne a encore la possibilité de se réformer, de tendre la main, de sortir de sa logique impériale. Mais pour cela, il faut un électrochoc. Ce reportage est un signal d’alarme. Il est aussi un acte de souveraineté intellectuelle, de résistance morale, et d’espoir.
Chapitre 1 — Naissance d’un empire : l’UE, un projet vraiment démocratique ?
Quand on parle de l’Union européenne, les mots qui viennent spontanément sont souvent les mêmes : paix, prospérité, intégration, valeurs, démocratie. Ce récit, savamment construit et martelé depuis des décennies, est devenu un dogme.
Une vérité officielle. Mais derrière l’image de cette « noble idée européenne », se cache une autre réalité : celle d’un projet initialement économique, devenu progressivement politique, puis impérial — sans jamais consulter véritablement les peuples.
Une construction d’en haut, sans les peuples
L’histoire de l’Union européenne commence après la Seconde Guerre mondiale, avec des intentions louables : garantir la paix sur le continent et éviter de nouveaux conflits. La Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA, 1951) puis la Communauté économique européenne (CEE, 1957) furent les premières étapes d’un marché commun. Jusqu’ici, rien à redire.
Mais dès les années 1980, le projet prend un autre tournant : celui de l’intégration politique accélérée, centralisée à Bruxelles. Des décisions majeures sont prises par des technocrates non élus, des commissaires puissants, appuyés par des groupes de pression économiques colossaux.
Question fondamentale : qui contrôle vraiment cette Europe ? Les citoyens ? Ou les banques, les multinationales, et les grandes chancelleries ?
Un déficit démocratique structurel
Le Parlement européen, seul organe élu au suffrage universel, n’a longtemps eu qu’un rôle consultatif. La véritable force réside ailleurs : dans la Commission européenne, organe non élu, qui propose les lois, les négocie avec les États, et surveille leur application.
Pendant que les peuples votent, la Commission décide.
À cela s’ajoute le Conseil européen (chefs d’État), le Conseil de l’Union européenne (ministres sectoriels) et la Cour de Justice de l’UE — autant de cercles où se prennent des décisions majeures, souvent sans débat public réel. L’opacité règne, et la fracture entre Bruxelles et les peuples ne cesse de s’élargir.
Le mensonge du référendum
En 2005, les peuples français et néerlandais rejettent par référendum le Traité constitutionnel européen. Leur message est clair : non à l’Europe des élites, des marchés, de la finance.
Mais à peine un an plus tard, le traité revient sous une autre forme (Traité de Lisbonne), adopté cette fois sans consultation populaire.
Le message est limpide : en Europe, quand les peuples votent mal, on passe outre leur volonté.
Une Europe au service des marchés
Depuis la crise financière de 2008, l’Union européenne a montré sa véritable priorité : sauver les banques, imposer l’austérité, écraser les récalcitrants.
En Grèce, les mémorandums imposés par la Troïka ont appauvri des millions de citoyens.
En Espagne, au Portugal, en Irlande, des générations entières ont payé le prix d’une politique dictée par Bruxelles et Francfort.
Le pacte de stabilité budgétaire a transformé les économies nationales en simples exécutants des règles européennes, souvent au mépris de la réalité sociale.
Un projet déconnecté des réalités humaines
L’UE parle souvent de droits de l’homme, mais traite les migrants comme des menaces. Elle parle de solidarité, mais impose des règles asymétriques aux petits pays. Elle parle d’écologie, mais signe des accords de libre-échange destructeurs pour l’environnement.
Elle parle enfin de démocratie, mais refuse la diversité des modèles politiques. L’Union ne tolère que les gouvernements qui s’alignent sur sa ligne. Les autres sont menacés, isolés, punis.
En résumé : un rêve confisqué
L’Union européenne aurait pu être une force morale dans le monde. Elle aurait pu incarner une vision solidaire, multipolaire, juste. Mais ce rêve a été confisqué par une technocratie arrogante, une élite fermée, et un appareil bureaucratique devenu une forteresse.
Aujourd’hui, les peuples doutent, se détournent, résistent.
Ce premier chapitre de notre enquête lève le voile sur la naissance douteuse d’un projet présenté comme démocratique, mais construit contre les peuples.
Chapitre 2 : Une Union fracturée : crises politiques, divisions internes et faillite morale
L’Union européenne aime projeter l’image d’un bloc uni, fort, tourné vers l’avenir. Mais derrière cette façade institutionnelle se cache une réalité bien plus instable : une Union affaiblie de l’intérieur, divisée sur les questions fondamentales, paralysée par des querelles idéologiques et nationales, et minée par une crise de légitimité qui ne cesse de s’aggraver.
L’Europe à plusieurs vitesses : l’échec de l’unité
Depuis l’élargissement à l’Est en 2004, l’Union européenne est traversée par une fracture géopolitique majeure :
À l’Ouest : des États fondateurs qui cherchent à préserver leur domination.
À l’Est : des pays qui contestent de plus en plus ouvertement les injonctions de Bruxelles.
Au Sud : des États relégués à un rôle subalterne, souvent traités comme des variables d’ajustement économique.
Les politiques d’austérité, les différences de traitement budgétaire, les débats sur l’accueil des migrants ou la transition énergétique ont révélé une chose : il n’existe pas une seule Europe, mais plusieurs, aux intérêts divergents.
Crise politique permanente
Le Brexit : un choc historique. Le Royaume-Uni a quitté l’Union, accusant Bruxelles de dérive autoritaire, de perte de souveraineté, et de mépris envers la volonté populaire. Ce départ a montré qu’on peut sortir de l’UE — et survivre.
La Hongrie et la Pologne : régulièrement sanctionnées pour des réformes jugées « illibérales ». Mais en réalité, il s’agit aussi d’une guerre idéologique entre des élites occidentales et des peuples qui refusent le modèle unique.
L’Italie, l’Espagne, la Grèce : des gouvernements sanctionnés ou isolés dès qu’ils s’écartent du dogme budgétaire ou des priorités imposées par Bruxelles.
Toute divergence est suspecte. Toute résistance est diabolisée.
Crise économique et sociale masquée
On parle souvent d’un « modèle européen », mais en réalité :
La pauvreté progresse dans les pays du Sud.
Le chômage des jeunes atteint des records (plus de 20 % en Espagne, en Grèce).
Les inégalités explosent, y compris dans les pays du Nord.
Les services publics sont démantelés sous la pression des directives européennes.
L’UE impose des règles économiques rigides (comme le pacte de stabilité) qui empêchent toute politique sociale ambitieuse.Elle sacralise les marchés, le libre-échange, la compétitivité… mais au détriment de la justice sociale.
Affaires et scandales : le ver est dans le fruit
L’image d’une Union « éthique et transparente » s’effondre devant les réalités suivantes :
Qatargate (2022) : des députés européens impliqués dans des affaires de corruption liées au Qatar.
Lobbys omniprésents à Bruxelles : plus de 12 000 groupes d’intérêts officiellement enregistrés.
Conflits d’intérêts au sein de la Commission européenne.
Opacité des nominations et manque de contrôle démocratique.
Nos propres investigations révèlent que plusieurs multinationales ont accès à des textes de lois européens avant même les parlementaires.
Fracture entre les institutions et les peuples
La défiance des citoyens envers l’UE atteint des niveaux record. Malgré cela, l’Union continue d’avancer sans réelle remise en question. Les élections européennes sont marquées par une abstention massive. Les décisions clés sont prises par des institutions que la majorité des citoyens ne comprend ni ne contrôle.
Une faillite morale
L’UE prétend défendre les droits de l’homme, mais elle :
Ferme les yeux sur les crimes de ses alliés.
Signe des accords avec des régimes autoritaires quand ses intérêts sont en jeu.
Cautionne des pratiques discriminatoires contre les migrants.
Importe du gaz de dictatures, tout en condamnant d'autres régimes pour moins que ça.
En résumé : une union de façade
L’Union européenne n’est pas seulement en crise : elle est en perte de sens.Les peuples veulent une Europe sociale, humaine, équitable.Mais ce qu’on leur impose, c’est une Europe technocratique, autoritaire, divisée et corrompue.
Chapitre 3 — Le diktat technocratique : comment l’UE impose ses lois au monde entier
L’Union européenne aime se présenter comme une union pacifique de droit, ouverte au dialogue et à la coopération. Pourtant, derrière ce masque diplomatique, elle déploie une stratégie juridique d’expansion silencieuse : celle de l’extraterritorialité de ses normes, de l’imposition de ses modèles économiques et du chantage réglementaire. Ce que certains qualifient aujourd’hui de « colonialisme légal ».
Bruxelles, capitale du droit… pour les autres
Grâce à son poids économique et commercial, l’Union européenne impose ses lois, ses règles, ses standards à ses partenaires étrangers sous forme de conditions contractuelles. Cela concerne :
L’environnement
Le numérique
La fiscalité
L’agroalimentaire
Les produits pharmaceutiques
Les transactions financières
Mais surtout : les accords de libre-échange, rédigés à 90 % dans un jargon juridique conçu pour protéger les intérêts européens, et souvent au détriment des pays en développement.
Qui veut commercer avec l’UE, doit s’aligner. Qui ne s’aligne pas, est puni, exclu ou stigmatisé.
La règle du plus fort déguisée en droit
Prenons deux exemples concrets :
Le RGPD (règlement sur la protection des données personnelles) : bien qu’adopté en Europe, il est devenu une norme mondiale car toute entreprise étrangère souhaitant traiter avec l’UE doit s’y soumettre. Ce qui crée des barrières d’entrée insurmontables pour les petites structures des pays du Sud.
Le mécanisme carbone aux frontières (CBAM) : sous prétexte écologique, l’UE taxe les importations de certains produits, pénalisant lourdement les exportateurs africains et asiatiques, sans leur offrir d’alternatives viables ou de soutien réel à la transition.
Un droit qui écrase les souverainetés
Les États qui osent contester la suprématie juridique de l’UE sont immédiatement:
Menacés de sanctions commerciales
Déclassés dans les notations financières
Exposés à des campagnes de dénigrement médiatique
Intégrés à des « listes noires » unilatérales (fiscalité, blanchiment, terrorisme…)
Tout cela se fait sans procédure multilatérale ni débat équilibré.
L’Union européenne ne négocie pas, elle impose. Elle ne coopère pas, elle conditionne.
La machine technocratique européenne : un monstre froid
La Commission européenne, organe non élu, dispose d’un pouvoir réglementaire immense. Elle rédige des centaines de directives, règlements, avis et standards techniques… rarement traduits, rarement compris, souvent imposés.
Personne ne sait vraiment :
Qui écrit ces textes
Qui les valide
Qui les contrôle
Mais tout le monde, y compris hors d’Europe, est forcé de les appliquer s’il veut rester dans le « jeu économique ».
Le chantage réglementaire : la nouvelle arme géopolitique
L’UE utilise ses standards comme levier de pression. Plusieurs pays africains, sud-américains ou asiatiques ont dû réformer leurs lois nationales pour répondre aux « attentes européennes » sur :
La gouvernance
Le commerce
L’environnement
La lutte contre la corruption (sélective)
Les droits de l’homme (à géométrie variable)
Or, dans bien des cas, ces réformes ont été démocratiquement rejetées par les peuples concernés, ou ont servi à affaiblir les économies locales au profit de sociétés européennes.
Vers une guerre juridique mondiale ?
Ce pouvoir normatif, appelé par certains chercheurs la « Brussels Effect », est devenu une menace silencieuse mais efficace pour les pays du Sud. Il leur retire la liberté de choisir leurs propres modèles de développement, et les place sous tutelle sans le dire.
Un droit sans légitimité.Une puissance sans mandat. Une domination sans drapeau.
Notre message : assez d’hypocrisie juridique
L’OMSAC demande un moratoire sur les mécanismes d’imposition réglementaire unilatérale.Nous appelons à la négociation équitable, à la reconnaissance des spécificités des pays émergents, et à la fin de l’usage du droit comme outil de domination déguisé.
Car l’avenir du monde ne se construira ni dans les couloirs de Bruxelles, ni dans les salles opaques du lobbying, mais dans le respect mutuel entre nations égales en dignité et en droit.
Chapitre 4 : Corruption, lobbys, scandales : l’Europe des élites contre les peuples
L’Union européenne aime se présenter comme une forteresse de transparence, d’éthique, et d’exemplarité démocratique. Pourtant, les faits, les enquêtes journalistiques et même certains aveux internes dépeignent une toute autre réalité : celle d’une machine institutionnelle rongée par la corruption, infiltrée par les lobbys, et déconnectée des préoccupations réelles des citoyens européens.
Le scandale du “Qatargate” : une trahison au cœur du Parlement
En décembre 2022, l’Europe fut secouée par un scandale sans précédent : plusieurs eurodéputés, assistants parlementaires et personnalités proches du Parlement européen furent arrêtés, accusés d’avoir reçu des valises de cash de la part de gouvernements étrangers (dont le Qatar et le Maroc), en échange de positions politiques favorables.
Résultat : des appartements luxueux perquisitionnés, des centaines de milliers d’euros saisis en liquide, et surtout une vérité mise à nu :
Même au cœur du système, les principes s’achètent.
Et ce scandale n’est que la partie visible d’un iceberg opaque.
Des institutions infiltrées par les lobbys
À Bruxelles, plus de 30 000 lobbyistes sont enregistrés officiellement. Ils opèrent dans un périmètre de quelques kilomètres autour du Parlement, de la Commission et du Conseil. Leur rôle ?
Rédiger des amendements aux lois
Influencer les normes techniques
Financer des études orientées
Pousser des candidats « amis » dans les institutions
Affaiblir les régulations sociales ou environnementales gênantes
Parmi les lobbys les plus puissants :🔹 L’industrie pharmaceutique🔹 Les GAFAM (géants du numérique)🔹 L’agrobusiness🔹 L’armement🔹 Les cabinets de conseil anglo-saxons
Ces groupes n’ont aucun mandat démocratique. Pourtant, ils dictent une large partie des décisions de l’UE. En silence.
La valse des pantouflages : commissaires et profiteurs
De nombreux anciens commissaires européens et hauts fonctionnaires rejoignent, après leur mandat :
Des multinationales qu’ils étaient censés réguler
Des banques d’affaires qu’ils ont favorisées
Des cabinets de lobbying
Exemples célèbres :
José Manuel Barroso (ex-président de la Commission) embauché par Goldman Sachs.
Neelie Kroes, ex-commissaire à la concurrence, accusée de conflits d’intérêts majeurs.
Quand le régulateur devient consultant, la démocratie devient fiction.
Des milliards détournés sans poursuite
L’Office européen de lutte antifraude (OLAF) publie chaque année des rapports accablants :
Fonds agricoles mal utilisés
Aides structurelles détournées
Subventions accordées à des projets fictifs
Dans les États membres comme la Bulgarie, la Hongrie, la Roumanie, Malte ou Chypre, des réseaux mafieux institutionnels exploitent les circuits européens d’aide au développement. Et souvent, les autorités européennes ferment les yeux pour ne pas fragiliser « l’image » de l’Union.
Un Parlement européen impuissant et marginalisé
Contrairement aux parlements nationaux, le Parlement européen ne peut pas proposer de lois, ni renverser la Commission, ni enquêter de façon indépendante. Il se contente :
De voter des textes préparés ailleurs
D’agir comme chambre d’enregistrement
De faire des déclarations morales inutiles
Pendant ce temps, les décisions réelles sont prises par :
Le Conseil des ministres (soumis aux rapports de force)
La Commission (non élue)
Les groupes d’intérêt économique
C’est l’Europe des élites. Pas celle des peuples.
Des élections européennes sans enjeu réel
Tous les cinq ans, les citoyens européens votent pour élire des eurodéputés… qui n’ont aucun pouvoir réel de transformation systémique.
Pourquoi ?
Les décisions clés sont prises à huis clos.
Les coalitions « centristes » bloquent toute réforme ambitieuse.
Le système électoral favorise l’abstention et le désintérêt.
Pendant ce temps, la pauvreté augmente, les inégalités explosent, et les jeunes générations perdent foi en ce projet.
L’heure de la vérité : l’Union n’est plus un modèle
Corruption, opacité, connivences, impunité… l’Union européenne ne peut plus prétendre donner des leçons au monde.
Elle doit :
Se regarder dans le miroir
Réformer ses institutions
Écouter ses peuples
Et cesser d’utiliser la morale comme outil de domination des autres continents.
L’OMSAC lance un appel :
Le monde n’a pas besoin de donneurs de leçons. Il a besoin de partenaires sincères. Assez de manipulation, assez de duplicité. L’Union européenne doit choisir entre la réforme ou la perte totale de crédibilité.
Chapitre 5 : Crises internes "une Union à la dérive, des peuples en colère"
L’Union européenne aime se proclamer « puissance de stabilité » et « modèle d’intégration ». Mais derrière ce vernis institutionnel se cache une réalité beaucoup plus sombre : celle d’un continent en tension permanente, traversé par des crises sociales, politiques et identitaires qui menacent sa cohésion même.
La fracture Est-Ouest : l’union impossible
Entre les capitales de l’Ouest (Bruxelles, Paris, Berlin) et les pays de l’Est (Hongrie, Pologne, Slovaquie, Bulgarie), les tensions sont devenues structurelles :
Sur les valeurs démocratiques (dérives autoritaires en Hongrie, censure, atteintes aux minorités)
Sur l’immigration (refus d’accueillir des réfugiés non européens)
Sur les questions sociétales (LGBT, liberté de la presse, État de droit)
Sur les choix économiques (délocalisations massives, dumping fiscal)
Bruxelles distribue des milliards aux pays de l’Est… mais ces derniers rejettent les injonctions politiques. L’Europe est donc financièrement unie mais idéologiquement fragmentée.
Montée des nationalismes et rejet de Bruxelles
Dans plusieurs pays fondateurs, l’euroscepticisme gagne du terrain :
En France : les partis hostiles à l’UE (RN, LFI) sont devenus dominants.
En Italie : des coalitions de droite radicale dirigent le pays en contestant Bruxelles.
En Allemagne : l’AfD, parti d’extrême droite, gagne en influence dans l’Est du pays.
Un nombre croissant de citoyens voient dans l’UE une source de contraintes, d’austérité et de perte de souveraineté.
Colère sociale : inflation, précarité, pauvreté énergétique
Malgré ses promesses de « prospérité partagée », l’UE est devenue un terrain d’inégalités croissantes :
Le coût de la vie explose dans toute l’Europe.
L’accès au logement devient un luxe dans les grandes villes.
Des millions de travailleurs pauvres peinent à vivre dignement.
La crise énergétique post-Ukraine a plongé des foyers dans la misère.
En réponse ? Des mesures technocratiques, lentes et mal coordonnées, incapables de répondre à l’urgence.
Une bureaucratie déconnectée des peuples
De Strasbourg à Bruxelles, l’image des institutions européennes est de plus en plus négative.Les raisons sont claires :
Le langage technocratique utilisé par les responsables est incompréhensible pour la majorité.
Les décisions sont prises loin des territoires.
Les priorités de Bruxelles (pacte vert, fiscalité numérique, normes industrielles) semblent déconnectées du quotidien des citoyens.
L’UE souffre d’un déficit démocratique profond, alimenté par le sentiment d’abandon des classes populaires.
L'échec de la politique migratoire commune
La gestion des flux migratoires a révélé les divisions les plus profondes :
Les pays du Sud (Italie, Grèce, Espagne) sont laissés seuls face aux arrivées.
Les pays de l’Est refusent la solidarité obligatoire.
L’accord de Dublin est obsolète.
Les ONG sont criminalisées, les migrants refoulés ou laissés à la mer.
L’Europe, autrefois terre d’accueil, externalise désormais ses frontières vers des pays tiers en crise (Libye, Tunisie, Turquie), au mépris des droits humains.
Multiplication des tensions internes : la crise est partout
Catalogne : les velléités indépendantistes en Espagne ne sont pas résolues.
Flandre vs Wallonie : tensions linguistiques en Belgique.
Allemagne : déséquilibres entre les Länder de l’Est et de l’Ouest.
France : fractures sociales et territoriales profondes.
Grèce et Italie : populations exaspérées par les injonctions économiques venues de Bruxelles.
L’Union européenne n’est pas unie. Elle est morcelée. Et ces fissures menacent sa pérennité.
Conclusion du chapitre : un modèle en crise de légitimité
L’Europe vit une crise existentielle. Ce ne sont pas des ennemis extérieurs qui la menacent, mais ses propres contradictions internes :
Une gouvernance élitiste
Une économie au service des puissants
Des peuples en perte de confiance
Des décisions imposées par en haut, sans consentement réel
L’OMSAC alerte :
L’Union européenne ne peut plus imposer ses normes et ses critiques aux autres continents tant qu’elle n’a pas réglé ses propres fractures. Avant de parler de démocratie ou d’État de droit aux autres, elle doit affronter ses propres échecs.
Chapitre 6 : L’arrogance normative : quand l’Union européenne impose ses lois au monde entier
L’Union européenne se présente comme le champion du droit, de la régulation, de l’équilibre et de l’ordre international. Mais derrière ce masque juridique se cache une véritable machine impérialiste de normalisation mondiale. Ce que l’Europe ne peut plus imposer par la force, elle tente désormais de l’imposer par le droit.
L’empire du droit… européen
Depuis deux décennies, l’UE a fait de la norme juridique un instrument de puissance géopolitique :
Normes environnementales
Règlements commerciaux
Régulations numériques
Standards industriels
Lois sur la transparence, les droits humains ou la lutte contre la corruption
En apparence vertueuses, ces règles servent avant tout les intérêts européens en forçant les pays tiers à s’aligner… ou à être exclus.
Le « Brussels effect » : la colonisation silencieuse par la norme
Le phénomène est bien connu : le « Brussels effect », concept forgé par la chercheuse Anu Bradford, désigne la manière dont les règles européennes deviennent des normes mondiales, simplement parce que les marchés veulent rester compatibles avec l’UE.
Mais ce qui est présenté comme une réussite est, en réalité, une forme de domination douce :
Les pays du Sud doivent adapter leurs lois aux exigences européennes.
Les entreprises africaines, asiatiques ou latino-américaines doivent investir pour se conformer… ou disparaître.
Des États souverains sont contraints d’adopter des réformes structurelles dictées depuis Bruxelles pour espérer des accords commerciaux.
Double standard : une Europe qui impose mais refuse l’ingérence
L’UE se permet de :
Juger les élections ailleurs mais refuse les critiques sur ses propres démocraties fatiguées.
Imposer des sanctions pour corruption mais tolère les scandales en son sein (Qatargate, McKinsey…).
Parler de liberté de la presse, tout en finançant des médias alignés et en excluant les voix dissidentes.
L’Union européenne parle d’universalisme… mais pratique l’exceptionnalisme occidental.
Le chantage à la coopération et aux accords
L’UE utilise sa puissance économique comme un instrument de chantage politique :
En Afrique, les accords de partenariat économique (APE) imposent des ouvertures de marché inégales.
Avec les pays du voisinage Sud, l’aide au développement est conditionnée à l’alignement politique et sécuritaire.
En Asie et en Amérique latine, les clauses « démocratiques » servent à pénaliser les gouvernements non-alignés.
Ce n’est pas de la coopération. C’est de la soumission codifiée.
Les conséquences pour les pays en développement : dépendance et blocage
Perte de souveraineté législative : les parlements nationaux deviennent de simples chambres d’enregistrement.
Frein à l’innovation locale : les normes européennes ne correspondent pas aux réalités locales.
Inégalités économiques accrues : les PME du Sud ne peuvent rivaliser avec les standards coûteux imposés par Bruxelles.
Renforcement des élites corrompues : l’UE négocie souvent avec des gouvernements faibles ou compromis, ce qui affaiblit la société civile réelle.
Un impérialisme juridique déguisé
Au XXIe siècle, les armes ne sont plus les seules formes de domination.Les lois, les accords, les clauses juridiques sont devenues les nouveaux outils de conquête.
Ce n’est plus le canon qui impose l’ordre occidental, c’est le contrat. Et ce contrat, souvent, est rédigé dans une seule langue : celle de Bruxelles.
L’OMSAC dénonce :
Ce modèle de domination normative ne peut plus être accepté. Le monde multipolaire qui émerge n’a pas à se soumettre aux lois d’un bloc en crise, qui refuse lui-même d’être jugé. L’universalité des droits ne signifie pas l’uniformité européenne.
Conclusion du chapitre :
L’Europe peut proposer des standards.Mais elle ne doit plus jamais les imposer.
Chapitre 7 : Une Union sous influence : l’OTAN, Washington, et les guerres des autres
Malgré son discours officiel d’indépendance stratégique, l’Union européenne reste étroitement liée aux intérêts géopolitiques des États-Unis, souvent au détriment de ses propres peuples, de sa souveraineté collective, et de sa crédibilité internationale.
Une souveraineté européenne illusoire
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’Europe occidentale est restée militairement dépendante des États-Unis par l’intermédiaire de l’OTAN. Malgré les efforts récents pour parler d’« autonomie stratégique », les grandes décisions de sécurité sont encore dictées à Washington.
L’UE soutient les guerres décidées par l’OTAN sans consultation démocratique réelle.
Elle impose des sanctions économiques décidées en priorité par les États-Unis.
Elle suit les politiques d’élargissement et d’endiguement dictées par les logiques américaines.
L’Union européenne, sur les dossiers militaires et sécuritaires, agit souvent comme un simple amplificateur des choix américains.
L’exemple ukrainien : l’Europe contre l’Europe
La guerre en Ukraine a montré avec brutalité les limites de la souveraineté européenne :
L’UE a adopté les sanctions les plus dures de son histoire sous pression américaine.
Les peuples européens ont vu leurs factures exploser, leurs économies fragilisées, pendant que les profits énergétiques américains grimpaient.
L’Europe de l’Est est devenue une zone de confrontation, sacrifiée sur l’autel de l’obsession américaine d’encercler la Russie.
Ce n’est pas une guerre pour la démocratie : c’est une guerre géopolitique, où les Européens paient le prix fort pour des intérêts qui ne sont pas les leurs.
L’OTAN : un outil américain, pas européen
L’OTAN, souvent présentée comme une alliance de défense mutuelle, est en réalité :
Une organisation contrôlée politiquement et militairement par Washington ;
Un obstacle à la création d’une vraie défense européenne indépendante ;
Une source de conflits permanents par sa logique d’expansion, y compris aux portes de pays non-alignés.
Les États-Unis décident, l’OTAN exécute, et l’Union européenne assume les conséquences.
Les guerres au Moyen-Orient : silence complice et alignement
L’Union européenne a cautionné ou accompagné :
L’invasion de l’Irak (sans mandat de l’ONU),
L’intervention en Libye (désastre humanitaire et migratoire),
Le soutien indirect à des groupes armés en Syrie,
Le silence face aux crimes de guerre en Palestine, à Gaza, au Yémen…
Où sont passées les valeurs européennes quand les bombes tombent sur les enfants de Gaza ?
L’UE se tait ou s’aligne. Elle n’ose pas contredire ses alliés, même quand il s’agit de violations massives du droit international.
Le piège du soft power : Think tanks, experts et narratifs sous contrôle
De nombreux centres d’analyse, ONG et médias européens spécialisés en sécurité sont en réalité :
Financés par des fondations américaines,
Influencés par les anciens cadres de l’OTAN ou du Département d’État,
Porteurs de discours identiques à ceux de Washington.
La pensée stratégique européenne est de plus en plus colonisée.
L’OMSAC alerte :
L’Union européenne, si elle veut survivre politiquement et moralement, doit sortir de la logique de vassalisation géopolitique. Elle doit cesser d’être le relais des guerres des autres.
Ce que nous proposons :
Une véritable autonomie stratégique européenne, indépendante des agendas américains.
Une politique étrangère fondée sur le dialogue multilatéral, pas sur la logique des blocs.
Le respect du droit international partout, pour tous, pas seulement quand cela arrange l’Occident.
Conclusion du chapitre :
L’Europe ne sera jamais une puissance de paix tant qu’elle servira des guerres qui ne sont pas les siennes.
Chapitre 8 : Qui dirige réellement l’Union européenne ? Le pouvoir invisible des lobbies, des banques et des cabinets d’influence
L’Union européenne se présente comme un espace démocratique, transparent et respectueux de la volonté des peuples. En réalité, les décisions les plus importantes sont souvent influencées – voire dictées – par des forces invisibles, bien loin des urnes et des citoyens.
Des institutions déconnectées du peuple
Le fonctionnement institutionnel de l’UE repose sur trois piliers :
La Commission européenne, qui détient le monopole de l’initiative législative, mais n’est élue par aucun peuple.
Le Conseil de l’UE, composé de représentants des gouvernements, souvent soumis à des intérêts économiques.
Le Parlement européen, élu, mais dont les pouvoirs restent limités face aux autres institutions.
Résultat : une gouvernance technocratique où le citoyen n’a presque aucun levier réel.
Bruxelles : capitale des lobbies
Avec plus de 25 000 lobbyistes officiellement enregistrés, Bruxelles est la deuxième capitale mondiale du lobbying après Washington.Ces groupes de pression représentent :
Des multinationales industrielles (pharmaceutiques, agroalimentaires, armement, énergie) ;
Des banques et fonds d’investissement ;
Des firmes de surveillance numérique et de big data ;
Des cabinets d’avocats et d’influence géopolitique.
Le lobbying européen, en dépit des règles de transparence, fonctionne à huis clos, dans les couloirs de la Commission et du Parlement.
Les banques et la finance : les vrais maîtres de l’agenda
La zone euro a été structurée pour rassurer les marchés, pas pour protéger les citoyens.La Banque centrale européenne (BCE), censée être indépendante, répond en priorité aux intérêts des grandes banques privées.
Lors de la crise de la dette grecque ou de la crise bancaire chypriote :
L’UE a préféré sauver les créanciers plutôt que les peuples.
Les politiques d’austérité ont été imposées par la Troïka (BCE – FMI – Commission), sans vote, sans débat.
Les peuples paient. Les banques décident. Voilà la réalité du pouvoir dans l’Union.
Think tanks, cabinets et spin doctors : l’armée invisible des décideurs
Derrière chaque réforme, chaque traité, chaque directive, on trouve :
Des cabinets de conseil comme McKinsey, impliqués dans des dizaines de contrats publics européens ;
Des think tanks influents financés par des multinationales ou des puissances étrangères ;
Des experts et anciens commissaires européens recyclés dans le privé, qui font du lobbying pour les intérêts qu’ils étaient censés réguler.
Le conflit d’intérêt est devenu structurel. L’Union européenne est capturée par des cercles fermés, opaques, puissants et insensibles à la volonté populaire.
Exemples concrets de cette dérive :
Le scandale « Qatargate » (pots-de-vin à des eurodéputés pour influencer des votes au Parlement) ;
Le rôle des lobbies du glyphosate, qui ont empêché l’interdiction de ce pesticide dangereux ;
Le poids des GAFA dans les négociations sur la régulation des données numériques ;
Les cabinets d’audit qui orientent la stratégie sanitaire et énergétique de l’UE, sans responsabilité politique.
L’OMSAC alerte :
L’Union européenne n’est pas seulement une construction bureaucratique : C’est un espace de pouvoir accaparé par les intérêts économiques et financiers.
Ce que nous proposons :
Une réforme institutionnelle radicale, plaçant les peuples au cœur du processus décisionnel ;
Une interdiction stricte du pantouflage (passage public-privé) au sein des institutions ;
Une réelle transparence sur les financements, les missions et les influences des lobbies.
Conclusion du chapitre :
On ne peut pas parler de démocratie tant que les décisions sont prises par ceux qui ont le plus d’argent, et non par ceux qui ont le plus besoin de justice.
Chapitre 9 : L’Union européenne et l’Afrique : Pillage, chantage et illusion de partenariat
Depuis les indépendances, les relations entre l’Union européenne et l’Afrique sont marquées par des discours flatteurs mais des pratiques inquiétantes. L’UE affirme vouloir être un « partenaire stratégique » du continent africain. Pourtant, derrière les promesses de coopération, c’est un système d’exploitation moderne, de dépendance imposée et de domination économique qui se perpétue.
Des accords déséquilibrés, jamais équitables
Les Accords de Partenariat Économique (APE), présentés comme des instruments de développement, ont en réalité :
Ouvert les marchés africains aux produits européens subventionnés ;
Fragilisé les économies locales ;
Accéléré la désindustrialisation de plusieurs pays.
Les pays africains, contraints d’accepter ces accords sous peine de sanctions commerciales ou de retrait d’aides, se retrouvent piégés dans une logique d’importation, de dette et de dépendance structurelle.
L’exploitation sans partage des ressources africaines
Les multinationales européennes continuent de contrôler une part importante des ressources :
Minières (or, uranium, coltan, bauxite...) ;
Énergétiques (gaz, pétrole) ;
Agricoles (coton, cacao, café...).
Résultat : les bénéfices partent vers l’Europe, tandis que les populations locales restent dans la misère.
Des entreprises comme TotalEnergies, Glencore, Areva ou Bolloré ont bâti leur empire sur le contrôle logistique et l’exploitation directe ou indirecte des matières premières africaines, souvent avec la bénédiction des élites locales corrompues et le silence des institutions européennes.
L’aide au développement : un outil de chantage et de contrôle
L’« aide » européenne à l’Afrique n’est jamais gratuite :
Elle est liée à des réformes dictées depuis Bruxelles ou Paris ;
Elle profite davantage aux consultants européens qu’aux populations bénéficiaires ;
Elle sert à maintenir une influence géopolitique, voire militaire, notamment dans le Sahel.
En réalité, l’aide devient un levier pour imposer des politiques néolibérales, affaiblir les États, et marginaliser les souverainetés nationales.
L’Europe face à la jeunesse africaine : peur, rejet, instrumentalisation
Plutôt que de coopérer loyalement avec la jeunesse africaine :
L’UE renforce les murs, les barrières, les visas inaccessibles ;
Elle signe des accords migratoires inhumains avec des régimes douteux pour empêcher les départs vers l’Europe ;
Elle instrumentalise les flux migratoires pour faire pression sur les gouvernements africains.
L’Afrique est perçue comme un « problème à contenir », non comme un partenaire égal.
Discours contre réalité
Alors que les hauts responsables européens parlent de « partenariat égalitaire » :
L’Europe continue à imposer ses normes, ses standards, ses conditionnalités ;
Elle pratique le deux poids deux mesures, notamment dans les conflits (Ukraine vs RDC, Palestine vs Mali) ;
Elle refuse d’ouvrir les yeux sur sa responsabilité historique et actuelle dans les crises africaines.
L’OMSAC dénonce :
❌ L’hypocrisie d’un partenariat faussement équitable ;❌ Le pillage systématique des ressources naturelles ;❌ La marginalisation des peuples africains dans la prise de décision mondiale.
L’OMSAC appelle à :
Une rupture immédiate avec les accords économiques néocoloniaux ;
La récupération de la souveraineté sur les ressources stratégiques ;
Un nouveau modèle de coopération basé sur la réciprocité, le respect mutuel et la justice.
Conclusion du chapitre :
Tant que l’Union européenne traitera l’Afrique comme une mine à ciel ouvert, une main-d’œuvre bon marché ou un problème sécuritaire, il n’y aura ni paix durable, ni véritable partenariat.
Chapitre 10 : L’Union européenne face aux crimes d’Israël et au drame palestinien : Silence, complicité et double discours
Alors que les principes fondateurs de l’Union européenne se réclament du respect des droits de l’homme, de la justice internationale et de la paix, le dossier palestinien révèle une contradiction profonde, presque schizophrénique, au cœur de la politique européenne.
Depuis des décennies, et plus encore depuis l’agression israélienne contre Gaza en 2023–2024, l’Union européenne se rend complice, par son silence, son soutien économique et diplomatique, voire son alignement sur les thèses israéliennes, de crimes de guerre documentés et dénoncés par de nombreuses ONG internationales.
Un double standard flagrant
Lorsque l’Ukraine est attaquée, l’UE réagit en quelques heures, adopte des sanctions massives, mobilise des milliards d’euros, expulse des diplomates russes, isole Moscou.
Lorsque Gaza est bombardée, l’UE appelle au "calme", renvoie dos à dos l’agresseur et l’agressé, et multiplie les déclarations creuses sur un "droit à la sécurité" d’Israël, en oubliant celui du peuple palestinien à vivre.
Ce double discours sape la crédibilité morale de l’Union européenne.
Des crimes documentés, ignorés ou justifiés
Depuis octobre 2023, plus de 35 000 civils palestiniens ont été tués, dont une majorité de femmes et d’enfants. Les infrastructures civiles (écoles, hôpitaux, universités) ont été détruites. Les sièges, les famines, les coupures d’eau et d’électricité sont utilisés comme armes de guerre.
Et pourtant :
Aucun responsable israélien n’a été sanctionné par l’UE.
Aucune enquête sérieuse n’a été exigée, malgré les appels de la Cour pénale internationale.
Certains médias européens justifient même "les frappes préventives", en violation du droit international.
Silence total sur le nucléaire israélien
L’UE fait campagne contre le programme nucléaire iranien, organise des sanctions, alimente une rhétorique de peur, alors même qu’Israël détient un arsenal nucléaire hors contrôle de l’AIEA (Agence internationale de l’énergie atomique), en violation de toutes les normes internationales.
L’Union européenne ne dit rien. Elle tolère l’arme nucléaire d’un régime en guerre permanente, mais combat celui qui la revendique comme dissuasion.
Une complicité économique et diplomatique active
Israël bénéficie d’un statut de partenaire privilégié avec l’UE ;
Des produits des colonies illégales continuent d’entrer sur le marché européen ;
Les accords de recherche, d’innovation et de coopération sécuritaire se poursuivent, comme si de rien n’était.
En pratique, l’UE finance indirectement l’occupation, et légitime la colonisation.
L’UE et la criminalisation de la solidarité
Des ONG européennes sont sanctionnées ou intimidées pour leur soutien à la cause palestinienne ;
Des militants pro-palestiniens sont poursuivis, fichés, censurés ;
Les manifestations pacifiques sont réprimées ou interdites dans plusieurs pays de l’Union, au nom de la lutte contre l’antisémitisme.
La solidarité avec la Palestine est criminalisée, tandis que les crimes d’Israël sont normalisés.
L’OMSAC dénonce :
❌ La politique de deux poids deux mesures dans l’application du droit international ;❌ Le silence complice sur les massacres de civils à Gaza ;❌ La collusion économique et diplomatique avec un régime d’apartheid et de colonisation.
L’OMSAC appelle à :
La suspension immédiate de toute coopération avec Israël tant que le droit international est violé ;
Le soutien plein et entier à la Cour pénale internationale dans l’examen des crimes de guerre à Gaza ;
Une révision complète de la politique européenne au Moyen-Orient, basée sur la justice, pas sur la géopolitique ou la peur.
Conclusion du chapitre :
Tant que l’Union européenne parlera de démocratie en Ukraine et fermera les yeux sur le génocide à Gaza, elle restera prisonnière de son hypocrisie et de sa complicité historique.
Chapitre 11 : Sanctions ciblées, sanctions à la carte : l’hypocrisie diplomatique de l’Union européenne
L’Union européenne, en se présentant comme le défenseur mondial des « droits humains », de la « paix » et de la « démocratie », a fait des sanctions internationales un outil central de sa politique étrangère. Mais une analyse objective démontre que ces sanctions ne sont ni cohérentes, ni justes, ni universelles : elles sont politisées, sélectives et profondément injustes.
Sanctions ciblées… sur certains régimes seulement
Les régimes visés par les sanctions européennes sont souvent ceux :
Qui contestent l’ordre mondial occidental ;
Qui refusent d’aligner leur politique étrangère sur les intérêts euro-atlantiques ;
Ou qui proposent une coopération stratégique avec la Chine, la Russie ou l’Iran.
Exemples notables :
La Russie, l’Iran, la Syrie, le Venezuela, le Mali, le Zimbabwe.
Mais aucune sanction contre Israël malgré les crimes de guerre en Palestine.
Aucune sanction contre l’Arabie Saoudite pour la guerre au Yémen.
Aucune condamnation claire de la France pour ses abus en Afrique (Burkina Faso, Niger…).
L’UE applique une justice internationale à deux vitesses, où la géopolitique prime sur le droit.
Le chantage aux sanctions : un outil de domination économique
L’Union européenne utilise les sanctions comme :
Levier pour forcer les négociations (ex. : Algérie–UE, Iran–JCPOA) ;
Arme économique de punition pour protéger ses intérêts (embargos, gels d’avoirs, suspension d’accords) ;
Signal politique à ses alliés (Niger, Russie, Palestine…) pour maintenir un ordre mondial unipolaire.
Ce système engendre :
Des crises humanitaires (sanctions contre la Syrie, l’Iran ou le Venezuela) ;
Le gel arbitraire de fonds souverains (Mali, Libye) ;
Des mesures extraterritoriales illégales (interdiction de coopération avec certains pays).
Double discours sur la corruption et les droits humains
L’UE prétend :
Défendre la transparence et l’État de droit ;
Lutter contre la corruption et l’impunité.
Mais elle ferme les yeux sur :
Les scandales de corruption au sein de ses institutions (Qatargate, lobbying opaque, conflits d’intérêts) ;
Les régimes autoritaires qu’elle soutient discrètement (au Maghreb, en Afrique subsaharienne, dans le Golfe) ;
Les multinationales européennes impliquées dans la corruption et le pillage de ressources en Afrique ou en Amérique latine.
Deux poids, deux mesures : les alliés sont épargnés, les pays indépendants sont sanctionnés.
Une diplomatie punitive qui menace la paix mondiale
Les sanctions de l’UE :
Exacerbent les conflits au lieu de les résoudre ;
Étouffent les économies des pays en développement ;
Renforcent les régimes autoritaires en les coupant du monde, tout en punissant les peuples.
De plus, l’UE :
N’offre aucune alternative crédible ;
Refuse souvent la médiation, l’écoute et le dialogue sincère ;
Imite la logique américaine du « Qui n’est pas avec nous est contre nous ».
L’OMSAC dénonce :
❌ L’usage abusif et sélectif des sanctions européennes ;❌ La politisation du droit international et des droits humains ;❌ Le recours au chantage économique pour soumettre les pays du Sud.
L’OMSAC appelle à :
Une refonte complète du régime des sanctions internationales basé sur la justice et la transparence ;
La fin des sanctions unilatérales illégales qui punissent les peuples ;
La création d’un cadre multilatéral indépendant pour évaluer les violations graves du droit international, y compris celles des États occidentaux.
Conclusion du chapitre :
Chapitre 12 : Médias, propagande et désinformation européenne : fabriquer l’opinion, dissimuler les vérités
Alors qu’elle revendique la liberté de la presse et la pluralité des voix, l’Union européenne orchestre, finance et valide un système médiatique verrouillé, orienté vers la défense de ses intérêts stratégiques. Ce système ne vise plus à informer les citoyens, mais à construire un récit officiel, à marginaliser les contre-discours et à dissimuler les vérités gênantes. La communication est devenue une arme politique et économique, aux mains de dirigeants qui veulent imposer leur vision du monde.
Une machine de fabrication de l’opinion
Les grands médias européens (France 24, Deutsche Welle, Euronews, BBC, etc.) sont :
Fortement subventionnés par les gouvernements ;
Étroitement liés aux cercles diplomatiques, militaires et industriels ;
Alignés sur les priorités géostratégiques de l’UE et de l’OTAN.
Résultat : une uniformité du discours, où les mêmes analyses, expressions et récits sont répétés, quel que soit le sujet.
Exemples :
Les États africains souverainistes sont qualifiés de « régimes putschistes » ;
L’opposition à l’ingérence occidentale est assimilée à du « populisme » ou à de « l’extrémisme » ;
Toute coopération avec la Russie, la Chine ou l’Iran est diabolisée comme une « menace ».
Silences complices et doubles standards
Les médias européens dénoncent avec vigueur :
Les atteintes aux droits humains… sauf quand elles sont commises par leurs alliés ;
La corruption… sauf quand elle touche leurs multinationales ou leurs élus ;
Les guerres… sauf quand elles sont menées par l’OTAN ou Israël.
Ils ne couvrent pas, ou minimisent :
Les massacres de civils à Gaza ou au Yémen ;
Le pillage des ressources naturelles en Afrique ;
Les révoltes populaires contre la présence militaire française.
Le ciblage des réseaux sociaux et des plateformes alternatives
Depuis 2022, l’UE a renforcé son contrôle numérique à travers :
Le Digital Services Act (DSA) et le Digital Markets Act (DMA) ;
Le renforcement de la censure des plateformes non conformes à sa politique (X, Telegram, RT, Sputnik) ;
Le financement de structures de « fact-checking » orientées, qui valident les discours officiels et disqualifient toute voix critique.
Ce n’est plus une lutte contre les fausses informations, mais une guerre contre l’indépendance intellectuelle et la vérité dérangeante.
Ingérences médiatiques dans les pays du Sud
L’UE finance de nombreux programmes :
De « formation des journalistes » dans les pays du Maghreb, du Sahel et d’Afrique de l’Ouest ;
D’« aide aux médias indépendants », qui sont en réalité des relais d’influence euro-atlantique ;
De surveillance de l’environnement informationnel, pour détecter et neutraliser les discours critiques.
Ce mécanisme vise à créer des élites médiatiques alignées sur Bruxelles, au détriment des réalités locales et des souverainetés nationales.
L’OMSAC dénonce :
❌ Le monopole idéologique de l’Union européenne dans l’espace médiatique ;❌ La fabrication de l’opinion publique par la répétition, l’exclusion et la peur ;❌ L’usage des médias comme instruments d’ingérence et de domination.
L’OMSAC appelle à :
La réappropriation de l’information par les peuples ;
Le soutien aux médias réellement indépendants, ancrés dans leurs territoires et fidèles à la vérité ;
La création d’un front global pour la liberté d’expression équilibrée, contre la censure déguisée en régulation.
Conclusion du chapitre :
Informer, c’est résister. Dénoncer les mensonges, c’est libérer les consciences. L’Union européenne doit cesser de confondre liberté de la presse et propagande de masse.
Chapitre 13 : La crise morale et existentielle de l’Union européenne : vers la fin d’un modèle ?
Pendant des décennies, l’Union européenne s’est présentée comme un modèle de paix, de démocratie, de développement économique et de respect des droits. Pourtant, derrière cette façade lisse, se développe une crise profonde, multiple, systémique, que ni les discours institutionnels ni les mécanismes techniques ne parviennent à dissimuler. L’UE est aujourd’hui une puissance vieillissante, divisée, contestée et fragilisée, non seulement par ses adversaires extérieurs, mais surtout par ses propres contradictions internes.
Une identité floue, une vision brouillée
L’Union européenne ne sait plus ce qu’elle est, ni ce qu’elle veut être :
Une puissance politique indépendante ? Elle reste soumise à l’OTAN.
Un espace économique intégré ? Les inégalités Nord-Sud persistent et s’aggravent.
Une communauté de valeurs ? Elle ferme les yeux sur les dérives autoritaires de plusieurs États membres.
Une voix pour la paix ? Elle participe à la militarisation des crises et à l'escalade diplomatique.
Résultat : une perte de sens, une désorientation stratégique, une paralysie des grands projets d’avenir.
Éclatement des solidarités internes
L’UE est traversée par :
Des fractures Est/Ouest (migrants, rapport à la Russie, nationalismes) ;
Des tensions Nord/Sud (rigueur budgétaire, dette, croissance inégale) ;
Des différences de traitement entre anciens et nouveaux membres.
Les principes d’égalité, de cohésion et de solidarité sont devenus des slogans creux, incapables de masquer les rapports de force dominants, où certains États imposent leur vision aux autres.
Un modèle économique à bout de souffle
Le paradigme économique de l’UE – libre-échange, austérité, financiarisation – est aujourd’hui en crise :
Industrie en déclin, délocalisations massives ;
Taux de croissance stagnants, chômage persistant ;
Inflation, explosion des dettes publiques ;
Système social sous pression et précarité croissante.
L’UE n’offre plus un horizon économique crédible à ses jeunes générations, qui se sentent exclues du projet européen.
Crise de légitimité démocratique
Les institutions européennes souffrent :
D’un déficit démocratique structurel (pouvoirs concentrés à Bruxelles, faible transparence) ;
D’un désintérêt croissant des citoyens (abstention, méfiance, montée des extrêmes) ;
D’un décalage entre les élites technocratiques et les réalités populaires.
Le citoyen européen moyen ne se sent plus représenté : il voit en l’UE un système opaque, inaccessible et insensible à ses préoccupations quotidiennes.
Perte de crédibilité internationale
Face aux grands enjeux mondiaux – guerre, climat, justice, technologie – l’Union européenne :
Adopte souvent une posture moralisatrice, mais agit peu ;
Privilégie les sanctions et l’ingérence plutôt que le dialogue ;
S’aligne systématiquement sur les positions américaines, au détriment de sa propre autonomie.
Elle apparaît dans le monde non plus comme un exemple à suivre, mais comme un acteur faible, en déclin, prisonnier de ses contradictions.
L’OMSAC affirme :
🟥 L’Union européenne est entrée dans une phase de décadence morale, marquée par l’arrogance diplomatique, l’hypocrisie politique et le cynisme économique. 🟥 Sa prétention à donner des leçons au reste du monde est désormais intenable, car elle ne parvient même plus à incarner ses propres principes. 🟥 Il est temps pour elle de faire son examen de conscience, de reconnaître ses fautes, et d’ouvrir une nouvelle ère basée sur l’humilité, l’écoute et la coopération réelle.
L’OMSAC appelle à :
La fin de la domination idéologique de l’UE sur les pays du Sud ;
L’ouverture d’un dialogue mondial équitable et sincère, sans conditionnalité politique ;
La redéfinition du projet européen sur la base de valeurs partagées et respectées dans les actes, pas seulement dans les discours.
Conclusion du chapitre :
Quand un modèle s’effondre, deux choix s’imposent : Soit s’entêter dans l’orgueil et l’autoritarisme, Soit reconnaître ses erreurs et renaître dans la vérité. L’Union européenne est à la croisée des chemins. À elle de choisir.
Chapitre 14 – Conclusion générale
« L’Union européenne face à son miroir : l’heure de vérité a sonné »
Par le Département Intégrité & Investigations – OMSAC
L’Union européenne s’est longtemps abritée derrière des institutions puissantes, des discours policés, et une image de "modèle universel" qu’elle s’est elle-même façonnée. Mais cette façade s’effrite.
Notre enquête exhaustive, en 13 chapitres, en expose les fissures, les dérives, les crises structurelles et les abus de pouvoir. Le temps est venu de dire haut et fort ce que beaucoup n’osent pas affirmer : l’UE ne peut plus continuer à s’ériger en donneuse de leçons quand elle peine à incarner ce qu’elle prétend défendre.
Ce que révèle notre enquête
✅ Une crise existentielle et identitaire, minée par des divisions internes, des politiques contradictoires et une absence de vision partagée.
✅ Une dérive autoritaire, où la diplomatie cède la place à la pression, la coopération à l’ingérence, et les valeurs aux intérêts.
✅ Une gestion hypocrite des crises mondiales, notamment au Moyen-Orient, en Afrique, ou dans les relations Nord-Sud, où l’UE use de deux poids, deux mesures.
✅ Un système gangrené par la corruption, le blanchiment d’argent, le népotisme et la connivence avec des lobbies sans scrupules.
✅ Une incapacité flagrante à reconnaître ses torts, à écouter les peuples, à respecter les souverainetés, à traiter d’égal à égal.
Message de l’OMSAC à l’Union européenne
🟥 Aux dirigeants européens, nous disons : le temps de l’arrogance est révolu. Ce n’est pas en imposant des normes, en menaçant des partenaires, ni en maquillant vos échecs que vous retrouverez du crédit. 🟥 À la société civile européenne, nous disons : beaucoup d’entre vous défendent sincèrement la paix, la justice et les droits humains. Mais ces valeurs sont aujourd’hui instrumentalisées à des fins politiques et géostratégiques. Votre vigilance et votre mobilisation sont indispensables pour sauver l’essence même du projet européen. 🟥 Au reste du monde, nous affirmons : ne vous laissez plus intimider par le langage technocratique ou moraliste de l’UE. Vous êtes en droit d’exiger le respect, la réciprocité et la dignité. Le temps de la soumission unilatérale est terminé.
Vers un nouvel équilibre mondial
L’Union européenne n’est pas notre ennemie. Mais son fonctionnement actuel est un obstacle à une mondialisation juste. Ce n’est pas l’UE en tant qu’entité morale qui est à remettre en cause, mais le comportement de ses dirigeants, les mécanismes opaques de sa gouvernance, et sa prétention à dicter l’avenir des autres. Nous entrons dans un monde multipolaire, où les anciennes puissances doivent apprendre à composer avec les nouvelles, non pas en les marginalisant, mais en les respectant.
L’appel final de l’OMSAC
🔴 Il est temps d’ouvrir une ère post-hégémonique, où les peuples décideront eux-mêmes de leur avenir. 🔴 Il est temps de rompre avec les pratiques néocoloniales, les sanctions illégales, les chantages politiques et économiques. 🔴 Il est temps que l’Union européenne cesse de parler à la place des autres. 🔴 Il est temps d’écouter, de dialoguer, de coopérer sans arrogance, sans mépris, sans duplicité.
En conclusion :
Nous, à l’OMSAC, ne croyons pas à la confrontation. Mais nous croyons à la vérité, à la justice, à la mémoire et à la réparation. Ce grand reportage est un acte de résistance intellectuelle et morale. Il est aussi un appel à la réforme, à l’honnêteté et à la sagesse. À l’Union européenne de choisir : Se réinventer… ou sombrer.
Genève, le 19 juillet 2025
Pour Le département Intégrité
& Investigations de l’OMSAC
Kleber SCHLEKER
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