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L'Algérie victime d'un complot politique déguisé, Décision scandaleuse de Bruxelles : Quand l’Europe sacrifie la vérité aux intérêts obscurs

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    omsac actualités
  • 18 avr.
  • 3 min de lecture

Dernière mise à jour : 18 juil.

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Le Département Intégrité et Investigations de l’Organisation Mondiale de Sécurité Anti-Corruption et Criminalité exprime sa vive indignation et sa profonde incompréhension face à la récente décision de la Commission européenne d’exclure l’Algérie de la liste des pays dits « sûrs » en matière d’asile.


Cette décision surprenante constitue une injustice flagrante, en totale contradiction avec la réalité politique, économique et surtout sécuritaire que connaît l’Algérie. Ce pays est reconnu pour sa stabilité intérieure, la résilience de ses institutions, ainsi que pour sa contribution active à la paix régionale et à la lutte contre les réseaux criminels transnationaux.


Une campagne de pression déguisée en mesure juridique

Nos investigations confirment que certaines forces occultes, activement soutenues par des lobbies influents, exercent actuellement des pressions sur le Parlement européen pour inscrire l’Algérie sur la liste des pays à haut risque en matière de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme.


Ce projet de classification serait, selon nos sources, justifié par des manquements supposés dans la législation algérienne, notamment en ce qui concerne les normes de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme (LCB/FT). Ainsi, le Parlement européen envisagerait d’imposer à l’Algérie un niveau élevé de vigilance dans toutes ses transactions financières et commerciales.


Une décision déjà actée politiquement

Toujours selon les mêmes sources, cette décision aurait déjà obtenu le soutien de la majorité des membres du Parlement européen, ce qui signifie que l’Algérie risque de ne pas avoir d’autre choix que de réagir rapidement.


La seule voie possible, selon nous, consiste à réviser et renforcer le cadre législatif national, afin de combler les éventuelles lacunes et de se mettre en conformité avant l’adoption officielle de mesures contraignantes attendues dans les prochains mois.


Une instrumentalisation politique inquiétante

L’OMSAC considère que cette classification repose moins sur des critères objectifs que sur des considérations politiques opaques, souvent dictées par des courants extrémistes européens, qui instrumentalisent la question migratoire à des fins électoralistes et populistes.


Il devient évident que certains cercles influents au sein de l’Union européenne cherchent à exercer des pressions inacceptables sur l’État algérien en détournant des leviers administratifs et réglementaires à des fins politiques.


L’OMSAC exprime également sa profonde perplexité devant le choix de certains pays inscrits sur cette liste « sûre ». Malgré les turbulences politiques, l’instabilité sociale, les risques sécuritaires réels et les niveaux d’endettement critiques que traversent certains d’entre eux, ils bénéficient tout de même d’un traitement préférentiel. Cette incohérence majeure est un affront à la logique, à la vérité des faits et à l’équité entre les nations.


Les statistiques disponibles, les classements internationaux et les données des agences spécialisées montrent pourtant un fossé objectif entre la situation de l’Algérie et celle de plusieurs pays retenus dans cette liste. Nous dénonçons cette politique de deux poids, deux mesures, qui sape les principes fondamentaux du droit international, de la coopération multilatérale et de la diplomatie juste.


Enfin, nous mettons en garde contre les dangers de telles décisions qui, loin de protéger l’Europe, alimentent le populisme, la méfiance et les tensions interétatiques, et risquent de compromettre des décennies de relations constructives entre les peuples.


À l’attention de l’opinion publique internationale,

Nous tenons à souligner que les enquêtes rigoureuses menées par l’OMSAC depuis plusieurs années, ainsi que les rapports publiés par notre Département Intégrité et Investigations, démontrent que la quasi-totalité des demandeurs d’asile algériens (estimée à 99,99 %) ne remplissent pas les critères définis par le droit international en matière de protection des réfugiés.


Cette réalité, que nous documentons de manière méthodique depuis plus de trois ans, met en lumière la nécessité urgente de réformer en profondeur les dispositifs d’accueil et d’examen des demandes d’asile, afin d’éviter les abus et les manipulations à des fins non humanitaires.


Par ailleurs, cette situation confirme que les accusations récurrentes portées par certains courants hostiles à l’Algérie, notamment l’extrême droite européenne, en matière de droits humains, de liberté d’expression, de justice ou de conditions de vie, relèvent davantage de la propagande que d’une analyse fondée sur des faits objectifs.


Ces discours, souvent déconnectés de la réalité algérienne, visent à délégitimer un État souverain et à ternir l’image d’un pays qui demeure un acteur essentiel pour la stabilité régionale et la coopération internationale.


Fait à Genève,

le 18 avril 2025


Pour Le département Intégrité

& Investigations de l’OMSAC

Kleber SCHLEKER





 
 
 

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