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Témoignage fracassant du journaliste émirati Mahmoud Al Balouchi, dans lequel il reconnaît les crimes de son régime — des crimes auxquels il devra tôt ou tard répondre devant la justice internationale

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    omsac actualités
  • il y a 7 heures
  • 4 min de lecture

Réponse ferme aux déclarations du journaliste émirati Mahmoud Al Balouchi et à la politique de discorde menée par son pays contre l’Algérie


L’Organisation Mondiale de Sécurité Anti-Corruption et Criminalité – OMSAC exprime son profond étonnement, son indignation et sa condamnation absolue face aux propos haineux tenus par Mahmoud Al Balouchi. Ces déclarations constituent le summum de l’impudence diplomatique et de la décadence morale et médiatique.


Celui qui se présente comme « journaliste » n’est en réalité qu’un petit relais d’un appareil de propagande malade, piloté depuis les coulisses du pouvoir émirati. Ses propos ne reflètent pas seulement une hostilité systématique envers l’Algérie, ils confirment – une fois de plus – l’implication directe des Émirats arabes unis dans la déstabilisation de la région MENA et du continent africain, comme le démontrent de nombreux rapports d’enquête internationaux, ainsi que la déclaration officielle de l’OMSAC publiée le 2 mai dernier.


Ses menaces à l’encontre de l’Algérie et de son président, et la référence faite au Soudan comme un « exemple » de ce que les Émirats peuvent faire, constituent une reconnaissance explicite de la participation d’Abou Dhabi à des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité. En conséquence, l’OMSAC appelle à l’ouverture immédiate d’une enquête internationale sur le rôle des Émirats dans le financement et l’armement de milices, ainsi que dans la destruction de la stabilité des États.


Nous rappelons à ce pseudo-journaliste arrogant que l’Algérie n’est ni un pays faible, ni une nation que l’on peut intimider. C’est un État de résistance, au passé glorieux, forgé par le sang des martyrs, et dont la dignité ne pliera jamais face aux manipulations de salons financées par la rente pétrolière.


Procédure judiciaire contre Mahmoud Al Balouchi

L’OMSAC annonce officiellement le lancement d’une procédure judiciaire internationale contre Mahmoud Al Balouchi, pour incitation à la haine, menace politique et complicité morale dans des crimes internationaux. Ses déclarations publiques sont considérées comme un témoignage direct accablant contre le régime auquel il appartient, et une confirmation de son implication dans la propagation de guerres, de coups d’État et de crises humaines en Libye, au Soudan, au Yémen et dans le Sahel.


Ce journaliste sera convoqué en tant que témoin et accusé devant les juridictions compétentes, et l’OMSAC mènera cette action judiciaire avec transparence, impartialité et rigueur, conformément à son mandat mondial dans la lutte contre la corruption, le crime transnational et les dictatures.


L’OMSAC met en garde contre la poursuite par les Émirats arabes unis de cette stratégie de provocation et d’agression, qui ne pourra qu’aboutir à leur isolement diplomatique croissant, en totale contradiction avec l’image qu’ils tentent de projeter à l’étranger.


Répondre à une attaque contre la dignité de l’Algérie ne saurait se limiter aux mots : il faut des actions diplomatiques, juridiques et concrètes. L’OMSAC coordonnera une campagne internationale pour dévoiler le vrai visage de ce régime hors-la-loi.

L’Algérie est trop grande pour être menacée, trop forte pour être soumise, et trop digne pour être achetée par des nains politiques.

L’OMSAC, fidèle à sa mission en faveur des causes justes à travers le monde, adopte cette affaire comme l’une de ses priorités et exercera pleinement ses prérogatives telles que définies par ses statuts. Elle restera aux côtés de tout État victime d’injustice, de menaces ou de politiques subversives, à l’image de ce que subit aujourd’hui l’Algérie.


Appel mondial contre le terrorisme d’État

Le terrorisme d’État représente aujourd’hui l’une des plus grandes menaces pour la paix mondiale, la justice internationale et la dignité humaine. Derrière le masque de la souveraineté et de la diplomatie, certains régimes utilisent leurs appareils étatiques pour mener des campagnes de répression, d’ingérence, de sabotage géopolitique et d’oppression systématique contre des peuples entiers.


L’OMSAC dénonce fermement l’usage abusif de la force étatique à des fins de domination, de manipulation idéologique, d’exportation du chaos et d’alimentation de conflits armés.


Qu’il s’agisse de la destruction d’États souverains par des interventions secrètes, du financement de groupes paramilitaires, de la répression des opposants ou de la guerre médiatique, le terrorisme d’État prend des formes multiples, souvent dissimulées, toujours destructrices.


Les conséquences sont dramatiques :

  • Des millions de morts et de déplacés,

  • La destruction d’institutions nationales,

  • L’effondrement économique de régions entières,

  • La criminalisation des relations internationales,

  • Et l’impunité croissante de régimes devenus hors-la-loi.


Face à ce fléau, l’OMSAC appelle :

  1. Les Nations Unies, l’Union africaine, l’Union européenne et l’OCI à reconnaître formellement la réalité du terrorisme d’État et à créer un mécanisme international indépendant d’enquête et de sanction.

  2. Les ONG, les intellectuels, les médias libres et les mouvements citoyens à s’unir pour exposer ces crimes, soutenir les victimes et faire pression sur les instances internationales.

  3. Les États souverains à mettre fin à leur silence complice et à défendre le droit des peuples à l’autodétermination, à la sécurité et à la justice.


L’OMSAC réaffirme son engagement moral et opérationnel à documenter, dénoncer et poursuivre les auteurs et complices du terrorisme d’État, où qu’ils se trouvent, quelles que soient leur puissance ou leur richesse.


Ce combat n’est pas seulement celui de notre époque ; il incarne l’exigence morale de notre humanité, le cri de justice des peuples opprimés, et le devoir sacré de toutes les consciences libres. C’est un engagement collectif, intergénérationnel, qui trace la frontière entre la barbarie d’État et la dignité universelle.

Département Intégrité & Investigations de l'OMSAC




 
 
 

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