Quand la voix de l’OMSAC trouve écho à la tribune des Nations Unies à travers le discours du Président Donald J. Trump
- omsac actualités

- 24 sept.
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À l’occasion de son discours devant l’Assemblée générale des Nations Unies, le Président des États-Unis, Donald J. Trump, a abordé avec force le dossier sensible de la migration irrégulière et des dérives liées aux dispositifs internationaux de gestion des réfugiés. Dans ses propos, le chef de l’État américain a dénoncé ce qu’il considère comme des « défaillances structurelles » de l’ONU, accusant certaines de ses agences de faciliter, voire d’encourager, l’immigration illégale à travers le monde.
Si le ton employé par le Président Trump a marqué les esprits, le fond de son intervention fait écho à plusieurs constats établis par l’Organisation Mondiale de Sécurité Anti-Corruption et Criminalité (OMSAC). Dès septembre 2023 (👉 voir publication), puis dans son rapport final publié le 16 septembre 2025 (👉 voir rapport), l’OMSAC avait mis en lumière :
le business transnational du trafic illicite de migrants, devenu une industrie criminelle organisée, générant plusieurs milliards de dollars chaque année ;
les zones d’ombre et défaillances au sein de certaines structures internationales, y compris onusiennes, qui facilitent indirectement l’essor de ces filières ;
et les abus du droit d’asile, utilisés par certains individus comme un bouclier pour échapper à des condamnations judiciaires ou mener des campagnes hostiles contre leurs pays d’origine.
L’intervention du Président des États-Unis ne constitue pas seulement une confirmation indirecte de nos analyses : elle illustre surtout la différence de traitement entre une grande puissance, soucieuse de mettre en lumière les véritables menaces qui pèsent sur la stabilité mondiale, et certains pays qui continuent de minimiser ces problématiques, voire de détourner le regard.
À travers ce discours présidentiel, un signal fort a été envoyé à la communauté internationale : les enjeux liés à l’immigration irrégulière, au trafic de migrants et aux dérives du droit d’asile ne peuvent plus être occultés. Ils exigent des réponses courageuses, une coopération accrue et une réforme des dispositifs existants.
Pour l’OMSAC, cette prise de position au plus haut niveau démontre que notre action s’inscrit dans une dynamique globale.
Elle confirme la pertinence, la crédibilité et le professionnalisme de nos experts, et renforce notre détermination à poursuivre nos missions, dans un esprit de responsabilité et de transparence, au service de la sécurité et de la stabilité internationale.
Un message clair aux sceptiques
À ceux qui doutaient encore du professionnalisme de nos experts et de la crédibilité de l’OMSAC, cette séquence internationale apporte une réponse sans appel. Nos analyses ne sont ni des exagérations, ni des spéculations : elles traduisent une réalité incontestable, aujourd’hui confirmée par une grande nation soucieuse de défendre la stabilité mondiale.
La différence entre un pays véritablement développé et certains États réside dans la capacité à affronter les vérités inconfortables. Tandis que certains gouvernements se contentent d’entretenir auprès de leurs peuples l’illusion d’être sur la bonne voie, les grandes puissances démontrent leur suprématie par leur lucidité et leur volonté de traiter les problèmes en profondeur.
Conclusion
L’OMSAC continuera, avec la même détermination, à mettre en lumière les dérives et à interpeller les décideurs, quels qu’ils soient. Notre objectif n’est pas de dénoncer pour dénoncer, mais d’apporter aux États et aux institutions internationales des clés de compréhension et des pistes de réforme.
Car le droit d’asile doit rester un instrument noble de protection des persécutés, et non un bouclier pour criminels. Et la lutte contre le trafic illicite de migrants doit être une priorité partagée, pour l’honneur des nations et la sécurité des peuples.
Département presse & médias de l'OMSAC




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