Entre la France et l’Algérie : La diplomatie piégée par des réfugiés sans foi ni loi
- omsac actualités
- 14 avr.
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Dernière mise à jour : 24 août

Face à la détérioration progressive et préoccupante des relations entre la République française et la République algérienne démocratique et populaire, en particulier durant les trois dernières années, le bureau exécutif de l’OMSAC a décidé, après plusieurs réunions stratégiques, de confier une mission prioritaire au Département Intégrité & Investigations.
L’objectif était de mener une enquête approfondie, accompagnée de consultations élargies avec des experts en diplomatie, en politique, en sécurité, mais aussi avec des médias et des représentants d’ONG des deux rives de la Méditerranée.
Une mission d’investigation rigoureuse
Après plusieurs mois d’un travail acharné, méticuleux et transversal, le Département Intégrité & Investigations a remis un rapport détaillé au bureau exécutif. Vu l’importance des conclusions, une réunion d’urgence exclusivement dédiée à ce dossier a été convoquée.
Les analyses croisées, les témoignages recueillis, et les éléments vérifiés ont tous conduit à un constat unanime au sein du bureau exécutif : la situation est grave, sensible et nécessite une action rapide afin d’éviter une escalade vers un conflit politico-diplomatique durable entre deux grandes nations, historiquement liées par une relation complexe.
Désignation des responsables : un abus systématique du statut de réfugié
L’enquête a permis d’identifier les principaux fauteurs de troubles : un groupe structuré de pseudo-réfugiés, d’origine algérienne, résidant majoritairement en France et dans d’autres pays européens. Ces individus exploitent abusivement leur statut de réfugié, non pas pour fuir une persécution, mais pour mener des campagnes de haine, de manipulation, de déstabilisation et d’atteinte à la souveraineté algérienne, et ce, en totale contradiction avec les fondements du droit humanitaire international.
L’inaction des institutions Européennes et internationales concernées et le silence du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés
Photo du président de l’OMSAC, M. Mourad MAZAR, aux côtés de M. Patrick EBA, directeur adjoint du HCR (UNHCR), et de Mme Sybil M. Kapferrer, coordinatrice principale pour la protection et la sécurité nationale. Pour en savoir plus, cliquez sur la photo
Sur la base des conclusions du rapport et conformément aux recommandations du Département Juridique, le Bureau exécutif a jugé impératif de tirer la sonnette d’alarme. Des correspondances officielles ont été adressées à plusieurs institutions clés, notamment au Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR) à Genève, afin de porter à leur connaissance la gravité de la situation et l’urgence d’une intervention coordonnée.
En complément de ces échanges écrits, des réunions stratégiques ont été organisées, la plus importante ayant eu lieu avec les représentants du HCR à Genève. Lors de cette rencontre, les preuves recueillies ont été présentées de manière détaillée, les abus constatés ont été exposés et des mesures concrètes ont été proposées pour endiguer cette dérive croissante et préoccupante.
Au cours de ces échanges, l’OMSAC a :
Présenté des preuves documentées démontrant les abus et comportements déviants de certains individus exploiteurs du statut de réfugié ;
Dénoncé l’instrumentalisation politique du droit d’asile, mettant en lumière les risques pour la sécurité et la stabilité des pays d’accueil ;
Proposé des pistes de réforme et des dispositifs de contrôle visant à prévenir ce type de dérives et à renforcer la protection à la fois des réfugiés légitimes et des sociétés hôtes.
Cette démarche vise à alerter la communauté internationale, à mobiliser les acteurs concernés et à renforcer les mécanismes de prévention et de régulation pour éviter l’escalade des tensions et garantir un cadre d’asile juste, sécurisé et respectueux des droits humains.
Constat d’échec : entre silence et irresponsabilité
Malgré nos efforts constants, nos alertes répétées et notre engagement sincère en faveur de la paix entre les peuples et du respect des principes humanitaires, aucune réponse concrète n’a été apportée par les institutions concernées. Le silence prolongé face à cette dérive inquiétante traduit soit une complicité passive, soit une négligence grave, laissant perdurer un phénomène dont la dangerosité ne cesse de croître.
Les tensions croissantes entre la France et l’Algérie constituent aujourd’hui la preuve tangible de cette défaillance institutionnelle. Ce conflit latent est nourri par des individus criminels et irresponsables, dont les actions sont motivées uniquement par des intérêts personnels, sans considération pour la stabilité des États, la cohésion sociale ou le respect des populations civiles.
L’inaction des autorités face à ces abus crée un vide dangereux, propice à l’escalade et à la déstabilisation, mettant en péril non seulement la diplomatie bilatérale, mais également la sécurité et l’intégrité des sociétés concernées.
Engagement renouvelé de l’OMSAC
Face aux nouveaux rebondissements de ce dossier explosif, l’OMSAC réaffirme sa détermination à poursuivre sa mission, guidée par les principes de vérité, de paix et de sécurité collective. Il est particulièrement préoccupant de constater que certaines parties, par leur silence prolongé, leur inertie ou leur passivité, ont non seulement laissé perdurer la situation, mais ont, de fait, validé implicitement les agissements graves de fugitifs condamnés à de lourdes peines par la justice de leur pays d’origine.
Ces comportements, dirigés contre un État souverain, menacent sa stabilité nationale ainsi que la stabilité internationale, la cohésion sociale et la confiance dans les institutions, et soulignent l’urgence d’une mobilisation internationale rapide, coordonnée et déterminée pour restaurer l’ordre et la justice.
Notre engagement s’adresse à :
Aux populations française, algérienne et franco-algérienne, directement affectées par ces tensions, dont la sécurité et la cohésion sociale sont aujourd’hui menacées ;
Aux institutions politiques et diplomatiques, qui doivent agir avec responsabilité, transparence et fermeté, afin de prévenir l’escalade et de restaurer la confiance ;
À l’opinion publique internationale, souvent tenue à l’écart de la réalité de ce conflit insidieux, mais dont la vigilance et la mobilisation sont cruciales pour exiger justice et respect des principes humanitaires ;
Au Haut Commissariat pour les Réfugiés (HCR) et à ses structures, responsables au plan international de la protection des réfugiés, et qui doivent impérativement garantir que ceux qui bénéficient de cette protection respectent strictement les lois nationales et internationales, afin de prévenir toute exploitation du statut de réfugié au détriment de la stabilité et de la sécurité des États souverains.
"Il s’agit d’un appel clair et urgent : chaque acteur concerné doit assumer sa responsabilité pour empêcher que des comportements déviants compromettent la paix, la justice et la sécurité collective."
Nous continuerons à :
Dénoncer les abus du droit d’asile, qui fragilisent la justice et la sécurité internationale ;
Exiger des réformes structurelles pour garantir une gestion responsable et équitable du statut de réfugié ;
Lutter contre toute manipulation politique ou médiatique, visant à semer le chaos ou à nuire à la paix régionale ;
Protéger les peuples contre les dérives de ceux qui exploitent la liberté pour saper les fondements de la démocratie, la stabilité internationale et le respect des États souverains.
Par cet engagement renouvelé, l’OMSAC affirme sa volonté de mobiliser l’ensemble des acteurs concernés, de faire entendre la vérité et de défendre la justice, tout en contribuant à la construction d’un cadre international plus sûr et responsable.
Réfugiés : Quand les Abus Menacent la Paix Mondiale, l'OMSAC Tire la sonnette d'Alarme
Dans un contexte mondial marqué par des crises humanitaires et des flux migratoires croissants, l’Organisation Mondiale de Sécurité Anti-Corruption & Criminalité (OMSAC) publie un rapport inédit intitulé « Réfugiés : Droits et Devoirs – Les Devoirs Éthiques et Moraux des Réfugiés ». Fruit de trois années d’enquête approfondie menée par notre Département Intégrité & Investigations, ce rapport met en lumière une problématique essentielle mais souvent négligée : les responsabilités et obligations des réfugiés envers leurs pays d’accueil et leurs pays d’origine. Pour lire la suite, cliquez sur la photo...
Pour rappel - 20 ans de prison pour Amir Boukhors (Amir-DZ) : Une réponse judiciaire à la menace contre l’État

Le 27 décembre 2022, le tribunal criminel de première instance de Dar El Beida (Alger) a prononcé une condamnation par contumace à l’encontre de Amir Boukhors, alias "Amir DZ", le sanctionnant de 20 ans de prison ferme ainsi que d’une amende d’un (1) million de dinars algériens, avec confirmation du mandat d’arrêt international déjà émis à son encontre.
Le condamné est poursuivi pour des faits d’une extrême gravité, qualifiés de crime d’enrôlement dans un groupe subversif visant la sécurité de l’État, l’unité nationale et l’intégrité territoriale, ainsi que pour crime de complot visant à inciter les citoyens à agir contre les institutions du pouvoir. Cette décision de justice vient confirmer le caractère hautement dangereux des agissements de ce personnage et renforce la légitimité des actions menées par l’OMSAC dans le cadre du présent rapport.
Pour le Département Intégrité & Investigations
De Genève : Karl SHLEKER
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