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Entre la France et l’Algérie : La diplomatie piégée par des réfugiés sans foi ni loi

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    omsac actualités
  • 14 avr.
  • 4 min de lecture

Dernière mise à jour : 16 avr.

RAPPORT SPÉCIAL - RELATIONS FRANCE – ALGÉRIE 2022 - 2025

Face à la détérioration progressive et préoccupante des relations entre la République française et la République algérienne démocratique et populaire, en particulier durant les trois dernières années, le bureau exécutif de l’OMSAC a décidé, après plusieurs réunions stratégiques, de confier une mission prioritaire au Département Intégrité & Investigations.


L’objectif était de mener une enquête approfondie, accompagnée de consultations élargies avec des experts en diplomatie, en politique, en sécurité, mais aussi avec des médias et des représentants d’ONG des deux rives de la Méditerranée.


Une mission d’investigation rigoureuse

Après plusieurs mois d’un travail acharné, méticuleux et transversal, le Département Intégrité & Investigations a remis un rapport détaillé au bureau exécutif. Vu l’importance des conclusions, une réunion d’urgence exclusivement dédiée à ce dossier a été convoquée.


Les analyses croisées, les témoignages recueillis, et les éléments vérifiés ont tous conduit à un constat unanime au sein du bureau exécutif : la situation est grave, sensible et nécessite une action rapide afin d’éviter une escalade vers un conflit politico-diplomatique durable entre deux grandes nations, historiquement liées par une relation complexe.


Désignation des responsables : un abus systématique du statut de réfugié

L’enquête a permis d’identifier les principaux fauteurs de troubles : un groupe structuré de pseudo-réfugiés, d’origine algérienne, résidant majoritairement en France et dans d’autres pays européens. Ces individus exploitent abusivement leur statut de réfugié, non pas pour fuir une persécution, mais pour mener des campagnes de haine, de manipulation, de déstabilisation et d’atteinte à la souveraineté algérienne, et ce, en totale contradiction avec les fondements du droit humanitaire international.


L’inaction des institutions Européennes et internationales concernées et le silence du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés

Photo du président de l’OMSAC, M. Mourad MAZAR, aux côtés de M. Patrick EBA, sous-directeur adjoint du HCR (UNHCR), et de Mme Sybil M. Kapferrer, coordinatrice principale pour la protection et la sécurité nationale. Pour en savoir plus, cliquez sur la photo


Sur la base des conclusions du rapport, et suivant les recommandations du Département Juridique, le bureau exécutif a décidé de tirer la sonnette d’alarme. Des correspondances officielles ont été adressées à plusieurs institutions, notamment au Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR) à Genève, afin d’exposer la situation alarmante.


En complément de ces courriers, des réunions ont également été organisées, dont la plus importante s’est tenue avec les représentants du HCR à Genève, afin de présenter directement les preuves recueillies, alerter sur les abus constatés et proposer des mesures concrètes pour faire face à cette dérive grave et croissante.


Lors de plusieurs échanges et réunions, l’OMSAC a :

  • Présenté les preuves documentées d’abus commis par ces individus ;

  • Dénoncé l’instrumentalisation politique du droit d’asile ;

  • Proposé des pistes de réforme et de contrôle pour prévenir ce genre de dérives.


Constat d’échec : entre silence et mépris

Malgré nos efforts, nos alertes et notre engagement sincère en faveur de la paix entre les peuples et du respect des principes humanitaires, aucune réponse concrète n’a été apportée par les institutions concernées. Le silence observé face à cette dérive inquiétante démontre une forme de complicité passive, ou du moins, une grave négligence, face à un phénomène de plus en plus dangereux.


Aujourd’hui, les tensions croissantes entre la France et l’Algérie constituent la preuve tangible de cette défaillance institutionnelle. Ce conflit latent est alimenté par des individus criminels et irresponsables, motivés uniquement par leurs intérêts personnels, sans égard pour la stabilité des nations ni la cohésion des sociétés.


Engagement renouvelé de l’OMSAC

Face aux nouveaux rebondissements dans ce dossier explosif, l’OMSAC réaffirme sa détermination à poursuivre sa mission, dans l’intérêt de la vérité, de la paix, et de la sécurité collective. Notre engagement s’adresse :

  • Aux populations française, algérienne et franco-algérienne ;

  • Aux institutions politiques et diplomatiques ;

  • À l’opinion publique internationale, souvent tenue à l’écart de la réalité de ce conflit insidieux.


Nous continuerons à :

  • Dénoncer les abus du droit d’asile ;

  • Exiger des réformes structurelles dans la gestion du statut de réfugié ;

  • Lutter contre toute manipulation politique ou médiatique visant à nuire à la paix régionale ;

  • Protéger les peuples contre les dérives de ceux qui utilisent la liberté pour attaquer les fondements de la démocratie et de la stabilité internationale.


Réfugiés : Quand les Abus Menacent la Paix Mondiale, l'OMSAC Tire la sonnette d'Alarme

Dans un contexte mondial marqué par des crises humanitaires et des flux migratoires croissants, l’Organisation Mondiale de Sécurité Anti-Corruption & Criminalité (OMSAC) publie un rapport inédit intitulé « Réfugiés : Droits et Devoirs – Les Devoirs Éthiques et Moraux des Réfugiés ». Fruit de trois années d’enquête approfondie menée par notre Département Intégrité & Investigations, ce rapport met en lumière une problématique essentielle mais souvent négligée : les responsabilités et obligations des réfugiés envers leurs pays d’accueil et leurs pays d’origine.

Pour lire la suite, cliquez sur la photo...


Pour rappel - 20 ans de prison pour Amir DZ : Une réponse judiciaire à la menace contre l’État

Le 27 décembre 2022, le tribunal criminel de première instance de Dar El Beida (Alger) a prononcé une condamnation par contumace à l’encontre de Amir Boukhors, alias "Amir DZ", le sanctionnant de 20 ans de prison ferme ainsi que d’une amende d’un (1) million de dinars algériens, avec confirmation du mandat d’arrêt international déjà émis à son encontre.


Le condamné est poursuivi pour des faits d’une extrême gravité, qualifiés de crime d’enrôlement dans un groupe subversif visant la sécurité de l’État, l’unité nationale et l’intégrité territoriale, ainsi que pour crime de complot visant à inciter les citoyens à agir contre les institutions du pouvoir. Cette décision de justice vient confirmer le caractère hautement dangereux des agissements de ce personnage et renforce la légitimité des actions menées par l’OMSAC dans le cadre du présent rapport.


Département Intégrité & Investigations de l'OMSAC




 
 
 

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