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L’OMSAC dénonce les interpellations abusives des lanceurs d’alertes dénonçant la corruption


Les lanceurs d'alerte peuvent être vus comme utiles à la société ou comme totalement une nuisance pour les entreprises et les institutions étatiques dont les informations sensibles peuvent être révélées.


Certaines questions se posent concernant les lanceurs d'alerte. Selon que l'on se place d'un côté ou l'autre du débat, les fuites des lanceurs d'alerte peuvent être perçues différemment.


Ces derniers peuvent par exemple être vus comme des bienfaiteurs pour la société ou comme des nuisances pour les entreprises dont les informations sensibles sont révélées.


Derrière cette appellation de « lanceurs d’alerte », on peut trouver une multiplicité de cas très différents : certains révèlent des pratiques cachées et illégales, d’autres cherchent à attirer l’attention sur des faits connus mais trop peu relayés médiatiquement, d’autres encore à interroger la légitimité d’une pratique légale.


Il peut leur arriver de passer eux-mêmes dans l’illégalité pour la bonne cause.


Les lanceurs d’alerte prennent des risques majeurs pour dénoncer les fraudes commises par des groupes privés et des acteurs publics.


Les vérités qu’ils dévoilent sont parfois officiellement reconnues mais ce dévoilement les condamne à la mort professionnelle, à d’interminables vengeances procédurières et au saccage de leur existence personnelle.


Comme la toujours soutenu l’OMSAC, les lanceurs d’alerte ne sont pas des héros à célébrer mais des citoyens à protéger.


L'assassinat de journalistes d'investigations ayant participé à de vastes enquêtes sur la corruption suscite l'indignation au sein de notre organisation et nous dénonçons avec force les "graves menaces" pesant sur les médias.


L'assassinat brutal de ces journalistes souligne les graves menaces auxquelles sont exposés les lanceurs d’alertes, en particulier ceux qui dénoncent la corruption.


L’OMSAC, appelle donc les gouvernements à enquêter sur ces crimes avec sérénité et à traduire les assassins en justice.


P/ l’OMSAC

Le département juridique


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